Aventure en Ustalav c'est ici ! Pour MJ et PJs.

Réjouissez-vous, vous qui habitez Lepidstadt, car la Bête a été capturée !
Cette abomination sera bientôt jugée pour ses crimes contre les bonnes
gens du Rival. Le Bourreau se dresse déjà sur la place devant le tribunal !
Les bûches s’amoncellent contre ses flancs et l’huile imprègne ses veines.
Il attend pour emporter son passager dans les profondeurs des Enfers et,
bientôt, nous lui servirons son festin !
– Crieur public de Lepidstadt

   
   Suite à notre arrivé a Ledipstadt et au début de l’enquête, nous nous sommes posé dans l'auberge de l’Âtre de Chasse où nous avons retrouvés Miranda, une ancienne membre de la compagnie que l'on avait perdu de vu à l'arriver en ville. Nous avions décidé de nous rendre, en premier lieu sur l'île krabe, pour enquêter sur l'incendie du sanctuaire, qui faisait office d'asile à l'époque. Sur place, nous n'avions pas trouvé beaucoup d'indice pour nous aider. Les seuls reste de l'incendie était une cave dans laquelle vivait quelque bleme, des sous-espèces de morts-vivant. Engar a sauté à l'intérieur sans réfléchir pour affronter ses bestioles, Désiré a du venir lui prêter main forte, mais l'a payé chère puisqu'il s'est fait mordre avec suffisamment de violence pour se retrouver malade... Une fois ces péripéties terminer, Miranda et moi-même (Bakasura) avons découvert un coffre-fort en métal complètement déformer à cause de l'incendie, la serrure n'était pas praticable donc pas de crochetage possible. Désiré et Engar ont donc entrepris de forcer la serrure. Cela nous permis d'avoir accès au reste de son contenu, de nombreux documents, pour la plupart réduit en miette par l'incendie et le forçage de serrure. Nous n'avons pu récupérer qu'un seul mot de ses documents : "Grine". Nous ignorons encore la signification de ce mot, nous tenteront d'en apprendre plus à notre retour en ville.


   Une fois cette histoire finis, nous avons décidé de nous rendre dans le petit village de Herstag, dans lequel, 7 mois auparavant, 6 enfants avaient étés tué par la bête. Entre temps, le village avait été entièrement déserter, un parfait décor de livre d'horreur : maison vide, piège a ours a foison, murmures dans le vent, etc... Dans un premier temps, nous sommes allez dans la maison de l'enfant nommé Allen, retrouver mort dans le lit familial une semaine après le départ de la bête, la mort la plus suspect selon nous. Il n'y avait rien dans la maison, elle était totalement vide a l'exception du lit familial, ce qui ne fut guère étonnant. Tandis que j'inspecter l'extérieur du bâtiment, je découvris un cadavre pris dans un piège à ours, une fouille de ce dernier révéla qu'il s'agissait très probablement d'un voleur faisant le tour des maisons vide. Au même moment à l’intérieur de la pièce, Désiré cru voir quelque chose sous le lit mais cette piste disparu aussitôt.

    Notre prochaine destination dans ce village était la chapelle, dédier a la divinité Desna. Tout comme le reste du village, celle-ci était a l'abandon. A l'extérieur de celle-ci se trouver un cimetière dans lequel, afin de s'assurer de la fiabilité de nos source, Engar et Désiré ont vérifié l'absence des corps des enfant disparu, et la présence des enfants retrouvé. Pendant ce temps, je me suis approcher d'une maison condamner en contrebas, celle de Karine, toute les issues étaient scellées par des planches.

   Alors que mes camarades s'approchaient et pénétrèrent dans cette dernière, je crus voir un épouvantail, sur le sommet d'une colline, avoir les yeux s'illuminer d'une lugubre lueur rouge. L'ambiance assez effrayante de ce village, que la nuit commençait à recouvrir, avait du me troubler les sens. Arriver à l'intérieur de la bâtisse, alors que nous commencions les fouilles, j’aperçus une enfant dans le coin d'une pièce à l'étage, j'étais alors seul, Miranda, à l'étage également, n'avais pas la vision sur cette dernière. Au même moment, au rez-de-chaussé, Désiré et Engar se retrouvèrent face à une créature similaire, il s'agissait d'âmes en peine. A la suite d'une rude bataille, car nos armes conventionnelle n'avaient aucun effet sur celle-ci, elles prirent la fuite.

   Le lendemain de cet incident, Désiré voulu aller voir de plus près cet épouvantail. On découvrit ainsi qu'il s'agissait d'une faux surmonter d'une citrouille putréfier, d'une mâchoire de mouton et d'un drap pour simuler un véritable épouvantail. Celui-ci marquait l'accès à une sombre tanière dans laquelle on pouvait apercevoir... Des yeux rouges nous observer, pareil a ceux des monstres de la veille.

   Attendons de voir ce que nous réserve la suite de notre enquête... Nous n'avons plus qu'une journée et demi pour accomplir notre mission


PS : Pour le nom de la compagnie d'ustalav, je suis pas sur que cela convienne à tout le monde, je suis toute ouïe pour d'autre proposition

    Nous avons repris notre petite route après une courte nuit, en commençant par allez voir de plus près ce mystérieux troue. Désirée pensa qu'il fallait impérativement pénétrer à l'intérieur pour en apprendre plus sur les incidents survenu au village, la disparition des enfants. Pour ma part, j'étais un peu réticent, en effet, c'est sale bestiole mon toucher hier et depuis, je me sentais pas super bien, plus faible que d'habitude... Toujours est-il que nous y sommes allez malgré tout, d'abord Désirée, puis Engar, suivit de Simon et l'arrière-garde que je gérais. Nous avons du ramper quelque temps à l'intérieur de ce conduit, avant d'arrivé dans une "salle" un peu plus haute, dans laquelle nous pouvions nous mettre à peu près debout. Le sol était joncher d'os, tandis qu'une grande ombre, similaire à celle de la veille mais en plus grande et calme, se tenait devant Désirée. Ils semblaient communiquer entre eux, mais je n'entendais pas clairement la conversation, surtout que des choses bougeaient dans l'ombre.
    Simon, cédant à la panique, pris la décision d'attaquer l'ombre en lui lançant quelque chose. Résultat, obliger de nous battre dans cet espace restreint. Après une courte, mais compliqué, baston, Désirée finit par "emprisonné" l'ombre en lui lançant une fiole bizarre, cela fera une preuve des propos que l'on avancera. Apres rapide observation de la grotte, on trouva les cadavres de plusieurs enfants, enfin, leur squelette. On en conclut que leur disparition n'étaient pas l'oeuvre de la bête, mais de cette chose. Simon ramassa quelque élément qui pourrait éventuellement permettre d'identifier les enfants.

    Une fois cette affaire régler, nous avons pris la décision de nous rendre dans le village Moras, on l'on prétend que la bête aurait tué 10 villageois et attaquer le cimetière. Le lieu est très marécageux, le chemin pour y accéder est à peine visible, mais une fois sur place, nous constatons un village battis sur pilotis, dans un style un peu miteux. Les villageois, dans le même style que le village, semble être au plus bas des classes social de cette contré, ils sont en piteux états, ils n'ont pas beaucoup de bétail pour se nourrir.
    Nous sommes accueilli dans ce village par une vieille femme, que l'on nomme La vieille mère Corle, soyons honnête, elle est pas jolie à voir. Nous commençons à parler avec elle afin d'obtenir plus de précision sur les événement qui se sont dérouler dans le coin. Nous avons juste pu apprendre que les corps était sortis des tombes et disparaissaient et que les villageois se faisait assassiner. Apparemment, le coupable les dépeçait, puisque que le corps d'un trappeuse (1ère victime) a été retrouver sans peau, la chaire à vif.
    Aussi, nous nous dirigeons en direction du cimetière en compagnie de deux villageois : Herbert et Tude. Tout comme la doyenne du village, ils ne font vraiment pas leur age, c'est louche. Sur la route, nous parlons un peu, on apprends que la bête aurait dévorée 6 corps dans le cimetière. Nous allons bien voir de quoi il retourne.
    Arrivé au cimetière, nous sommes surpris par quelque chose, Herbert se prend deux longs dards qui le tue sur le coup, tandis que Désirée s'en prend un seul, de même pour moi, et je tiens a préciser que ça fait SUPER MAL !!! Il s'agissait d'une manticore, une créature magique hybride entre lion(corps), dragon(ailes), humain(visage) et avec une queue munies de nombreux dards. Malgré la puissance de la monstruosité, on parvint à la tué.
    Une fois la bête morte, nous pouvons nous lancer dans l'exploration du cimetière. Pres du cadavre de la Manticore, nous découvrons son nid, dans lequel se trouvait un cadavre de petite taille, celui d'un nain en tenu de pèche. En fouillant le secteur, nous trouvons de l'huile d’affûtage, une flasque en argent, un baume pour le corps, quelque pièce et une épée courte de maître, mais aussi, bien caché, une baguette magique dans un buisson. Aux abords du cimetière, nous avons trouvé une barque camouflé, cette dernière contenait de très vieille ration, une rame, des vêtements, etc... Mais surtout, un visage humain, pas un masque, mais vraiment une peau humaine, avec les cheveux et tout ce qui va avec. En sortant la barque de l'eau, nous découvrons un vieux sac accrocher à celui-ci, qui traînait sous l'eau. Ce sac contenait un corps impossible à identifier, ainsi que des outils de chirurgien de très grand qualité (en argent avec des manches en améthyste). En partant, nous découvrons les fameuses tombes que la bête aurait dévoré, mais, les tombes était parfaitement bien creuser, ça ne pouvais pas être son oeuvre. Simon constata aussi que la terre de ce secteur était spécial et avait une propriété qui permettait de bien conserver les corps.

    Une fois ces mésaventure terminé, on repris la route vers Ledipstadt pour préparer le procès, mais surtout pour essayer de retrouver le propriétaire de ces outils que l'on a trouvé au cimetière. Pour l'instant, nos soupçons concernant Moras se porte plus vers l'université.
    Actuellement, la ville est remplie de touriste, tous venu pour voir la bête mourir. Dans un premier temps, nous décidons d'aller rendre visite à la juge Daranis, pour lui faire part de nos premier résultat. Elle ne semblait pas super heureuse de nous voir, et elle prétendait ne pas reconnaître les signes sur les outils (un corbeau). Nous décidons donc de nous rendre vers la rue des artisans, plus précisément dans l'allé de l’anatomiste.

    Arrivé à destination, nous finissons par trouvé l’artisan a l'origine de nos outils en consultant plusieurs boutique. Nous finissons par obtenir la boutique dans lesquels ils ont été forgé : kurlogo. Sur place on trouve un vieille homme. Apres lui avoir posé la question, il finit par nous dire qu'il a vendu ces outils a Vladka Caustel, une varisienne rousse portant une écharpe verte.
         -On se retrouve dans une salle de vente : Marchant d'uslédor, où l'on retrouve Vladka Caustel. Celle-ci nous apprend qu'elle l'a vendu il y a un an, à un homme au grand chapeau, et portant des lunettes teinté de vert qui serait à la boutique Holo.
         -Arrivé dans ce magasin de fourniture, le gérant nous redirige vers une autre boutique tenu par un certain Radniche, il s'agit d'une boutique situé à coté de l'universié, mal exposer, dans l'ombre.
        -Une fois dans la boutique, nous rencontrons le dénommé Radniche, Engar fut contraint de l'intimidé pour obtenir des information. Notre prochain direction était l'atelier Vokstage et Grine*, Maître Vokstage était a l'origine de cet achat, un homme soigné, très grand, tout de noir vêtu.

     Mais l'heure tourne et nous n'aurons pas l'occasion d'allez plus loin dans notre enquête, pour l'heure, nous devons nous rendre d'urgence au tribunal, le procès commence dans une heure. Nous prenons juste le temps de jeté un coup d’œil à l'atelier, il s'agit d'une énorme bâtisse de 20 mètres de longs, 3 étages de haut avec 3 cheminées desquels sorte des fumées jaunâtre. Tout ce que l'on a pu voir actuellement, c'est une chimère, un chien composé de plusieurs animaux, comme notre amis Jean-Pierre (la bête)

*Grine : oh mais dite moi, n'avons nous pas déjà vue ce mot quelque part ?!

Petite note pour les curieux, voici les spécifications des loots de la Manticore :
   -la fiole en argent contient du whisky -250po-
   -le baume pour le corps octroie +5 à ses premiers secours et à la guérison du poison/maladie
   -l'épée courte de maître octroie un bonus de +1 au touché (propriétaire actuel : Simon)
   -la baguette magique a un effet de "son imaginaire" -22 charges-
La répartition de ces derniers n'a pas été finit

PS : Guillaume, je ne retiens pas ta proposition de nom de compagnie, il est... trop particulier >.> Mais je reste toujours ouvert à toute proposition =)

     Suite a nos dernière péripétie, nous devions nous rendre au tribunal au plus vite, en effet, il ne restait plus qu'une heure avant le début du procès. Aussi, nous nous sommes dirigé vers le tribunal. Arrivé sur place, nous pouvons constaté que le procès de la bête attire beaucoup les gens,  les rues menant au tribunal sont bondés de personne espérant pouvoir assisté au procès, qui sera donc ouvert au publique. A l'entrée du tribunal, les gardes sont présent, triant les personnes voulant pénétré dans celui-ci. Grace à notre laisser passer, nous avons pu rentrer sans aucun problème. A l'instant où nous avons pénétrer dans le bâtiment, un grand carrosse noir arrivait sur les lieux, celui-ci transporté les 3 juges du procès.
      Pour rentrer dans la salle du procès, nous devons déposé nos armes a l'entrée, comme d'habitude. Jean-Pierre (la bète) est déjà présente sur place, dans une immense cage, comme illustré plus haut dans notre aventure. A notre arrivée, Maître Kaple nous fait signe et nous rejoignons ce dernier. Une fois nos retrouvaille faite, il nous présenta les personnes qui seront présente aux procès :

                  -Juge suprème : Ambrose Kard : un vieux juge d'environ 80 ans, un visage renfrogné (sourcils toujours froncés), il détient le maillet pour gérer les plaidoyers. Il a la réputation d'être très sévère.
                  -Juge Karp Aldaar : un juge plus jeune d'environ 50 ans, il est super hautain, il me ferait presque penser à un elfe. Il a la réputation d'être le plus terrible des juges, probablement dû à son statut d'ancien militaire, qui aurait toujours conclut ses procès par la peine de mort.
                  -Juge Daramid : on la connait, pas plus de détail a donné que ce que l'on sait déjà.
                  -La Sainte sœur de la Justice : Vêtu d'une grande robe grise, elle a pour mission de s'assurer qu'aucune magie n'est utilisé dans la salle pour corrompre les juges, ou autre...
                  -Le Hérault de la cour : Un homme de 2 mètres de haut, vêtu d'une armure de plaque noir avec une claymore à ses cotés. Il est en charge de l'utilisation du gong pendant la séance, et, vu sa stature, du respect des règles.
                  -Les 5 clercs : C'est à ces personnes que nous avons confiés nos preuve pour le procès, ils font office d'assistant pendant la séance, ils apporteront les différentes pièces à conviction, les analyses, etc... Ils sont aussi chargé de consigné tout les événement sur papier.
                  -Otto Heigar : Notre ennemi dans ce procès, il représente l'accusation, il est habillé en noir et est accompagné de 3 conseillers pour le procès. Il a l'air du typique avocat ripoux qui paierais des gens pour mentir en sa faveur.

     Une fois les présentations faite par notre ami, nous avons décidé de nommé Désirée comme étant le second avocat de Jean-Pierre, étant le plus diplomate de notre humble compagnie. Cette séance a donc commencer par... L'énumération des règles qui régissent le procès, pendant 20 minutes (un coup de gong pour chaque règles !!!) Une fois cette longue étape terminée, l'accusation a commencé, Maitre Heigar a commencé en rappelant les fait reprocher à Jean-Pierre à propos de l'affaire du village de Moras, il appela également 3 personnes originaire de ce village, ces derniers couvert de beaucoup de boue, plus que la normal. Il se servit d'eux pour persuader (en jouant sur les sentiments, ici de misère et pitié) que ces gens avaient été victime de la bête.
     Une fois son intervention terminée, Désirée fit sa part du travail, en défendant avec ardeur la bête. Il présenta les éléments que nous avions de notre coté : l'histoire de la manticore, les tombes trop bien creusé pour être l'oeuvre de Jean-Pierre, les propriétés étonnante de la terre, le cadavre du nain retrouvé, mais aussi, l'histoire de la barque camouflées, avec à son bord un visage humains et des outils de chirurgien de maître. Il se servit également du fait que les villageois n'avaient en aucun cas vu la bête commettre un meurtre, et que celle-ci, qui se serais fait attaquer par des crocodiles, ne présenterait aucune trace de morsure. Puis la séance pris fin pour cette affaire, elle reprendra demain avec l'histoire du village de Erstag. Je pense que nous avons gagné des points sur cette histoire.


     Une fois la séance terminée, nous sommes aller vers l'usine de Vorkstage et Grine, d'où venait les outils de chirurgien de maître afin d'en apprendre plus sur l'histoire du sanctuaire, pour laquelle nous manquons un peu de preuves... La cour de cette dernière possède deux portes, une petite a battant et une grande qui coulisse sur les côtés. L'espace est dégagé sur une vingtaine de mètre autour de l'usine.
     Comme tout bon cambrioleur, le mieux avant de rentrer illégalement dans un bâtiment est de savoir les habitudes de ses occupants, nous nous sommes ainsi rendu dans le bar du coin. Nous posons quelque questions au patron du bar. Nous parvenons à apprendre qu'il n'y aurait personne qui travaillerait là-bas, personne n'a jamais vu de personne autre que Maître Grine ou Maître Vorkstage. Nous décidons de nous rendre sur place la nuit tomber.
     Nous nous retrouvons ainsi devant les grilles bloquant l'accès à la cour. Je me charge de crocheter la serrure du cadenas verrouillant l'accès à cette dernière. Le chien de garde paraissait d'abord apeurer par nous, reculant doucement, mais une fois à porté, il nous a sauté dessus férocement. Apres une lutte acharnée, nous sommes parvenu à le tuer. Une fois cette obstacle franchit (merci le bruit de l'usine qui masqua la baston), nous sommes donc rentré, en passant par la petite porte. Une fois a l’intérieur, nous pouvons apercevoir de nombreuse cuve avec des drôles de créature travaillant autour de celle-ci, il devait y en avoir 8. Pour pouvoir explorer la pièces, nous sommes descendu de la passerelle où nous étions, 4 m 50 plus bas. Une fois a terre en compagnie de Désirée, ces bestioles, des "batârds" selon Simon, nous ont attaquées. Après un long combat, mais sans trop de difficulté, par rapport aux chien de garde, nous les avons mise hors jeux. Notre exploration nous permis de voir un étage au bâtiments et une porte aux rez de chaussé. Nous nous sommes d'abord rendu à l'étage, nous l'avons exploré discrètement. Dans les première pièces se trouvé des caisses de livraison. Puis vint la pièce dans laquelle j'ai pu entendre de l'activité, Désirée a gentiment pris contact avec son occupant, mais celui-ci, une fois qu'il a vu Désirée, a pris peur et s'est emparé d'une hache et a commencé à se battre, voir illustration précédemment affiché pour un aperçu de notre agresseur. Il s'agissait de Grine, et il n'était pas très humain, pendant le combat il grandit jusqu’a atteindre une taille de 2m20 environ, puis, à sa mort, rétrécit jusqu’a une taille de 1m30 environ. Selon Simon, notre bestiaire ambulant, il s'agissait d'un "fureteur nocturne" créature qui a la réputation de porté des peaux humaines pour se fondre dans la masse. Pour les détails sur l'intérieur de son bureau, vous pouvez vous référez au poste juste au dessus de celui-ci. Nous avons réuni quelque preuve pour le procès, puis nous sommes allez voir la porte inexplorée au rez de chaussée. Celle-ci menait, dans un premier lieu, sur un bassin remplit de cadavre, puis continué sur un accès direct aux égouts, par lesquels la bête aurait pu rentré dans la ville.
     En quittant l'usine, nous sommes allez chercher la garde pour qu'il s'occupe du bâtiment, leur demandant de s'occuper des preuves que nous allions garder. Demain sera une rude journée, j'espère que nous réussirons à innocenter ce pauvre Jean-Pierre...

     Suite a notre exploration du laboratoire de Vorkstage et Grine, nous nous sommes redirigé vers le tribunal, il nous restait encore l'affaire d'Herstag à traiter, où 6 enfant auraient été tuer, ainsi que l'histoire du sanctuaire de lîle Krab, où Jean-Pierre aurait fait un incendie criminel. Se référer au précédent résumer pour en savoir plus sur notre aventure.
    Ainsi, nous sommes revenu au tribunal, cette fois-ci, l'accusation était plus casse-pied que la dernière fois, même si, selon moi elle apportait pas de vrai preuve de la culpabilité de Jean-Pierre dans cette histoire. De notre coté, nous apportions beaucoup de preuve, les différents objet retrouver sur les squelettes d'enfants, l'âme en peine, etc... Désirée faisait du très bon travail dans sa tâche qu'est de défendre notre pauvre Jean-Pierre. Mais l'accusation refusait catégoriquement de lâcher prise, allant jusqu'à dire que ce malheureux Jean-Pierre aurait conclut un pacte avec l'âme en peine, chose totalement absurde. Toujours est-il qu'a la fin de la journée, nous n'étions pas sur que nos argument avait pu convaincre les juges, mais ce qui est fait, est fait. Dans notre dos, nous pouvions quand même entendre le mécontentement de foule, la justice leur paraissait trop lente... Nous en avons conclut que notre nuit serait mouvementé.

     La nuit tombé, nous nous étions assuré que Jean-Pierre était bien au sous-sol, bien protéger. Pendant ce temps, de nombreux villageois s'amasser autour du tribunal, ils avaient vraiment décidé de régler cela par eux même, sans attendre le compte-rendu des juges.
   Cela commença avec des tirs d'arbalètes sur le tribunal, sans grand danger apparent. Puis ils commencèrent à essayer d'enfoncer la porte du tribunal, Simon du utiliser une de ses mixture bizarre pour lui donner la force de tenir la porte, en ma compagnie quand même. Dans un instant de faiblesse, on lâcha prise, ce qui permis au villageois d'ouvrir la porte. Nous nous sommes aussitôt remis en position avec les soldats pour défendre le tribunal. Pacifiquement, nous avons tenté de les raisonner, mais... un carreau d'arbalète parti quand même, blessant un des soldats qui nous assister. Au même moment, un détachement d'une trentaine de miliciens pénétrèrent dans le bâtiment, afin d'y assurer la sécurité. Voyant cela, les citoyens se dispersèrent laissant de nouveau la paix et le silence envahir les rues.

     Le jour suivant, après notre nuit mouvementer, nous nous retrouvions au tribunal, pour la dernière affaire, celle de l'incendie du sanctuaire. Nous avions amasser pas mal de preuve incriminant le laboratoire Vorktage et Grine et le Docteur Bradas dans des histoires pas très nette. Pour cela, nous avons d'abord eu affaire au témoignage de Karl, l'assistant du docteur qui serait devenu aveugle suite à cet accident.
   Nous avons donc eu un débat difficile, mais pas impossible, dans lequel nous utilisions nos preuve qu'était :
            -le registre de Vorktage et Grine
            -Le document calciné retrouver au sanctuaire
            -La peau que porté le fureteur tuer au laboratoire
            -du dissolvant alchimique
            -une main de blème issue du sous-sol du sanctuaire
   Au cour de cette séance, nous nous sommes appuyé sur ces éléments, afin de prouver, a la fois que la bête n'était pas à Morras, à la fois que ce n'était pas elle le responsable de l'incendie du sanctuaire. Selon nous, Grine en était responsable, du moins, c'est ce que les preuves obtenu nous laisser croire. Apres une dure journée, nous finalement finit la séance. Et à la surprise général, les juges ont décidé que Jean-Pierre était innocent dans cette histoire, qu'il serait libérer et raccompagné à l'entrée de la ville, sous notre garde, où il sera relâcher, et libérer dans les marais.

     Ainsi, Jean-Pierre pu retrouver sa liberté, il était très content et nous considérait comme ses amis désormais. Il nous a même inviter a le rejoindre chez son père, qui serait l'ancien compte du secteur, Carro Marc. Son château sera notre prochaine destination, en attendant, profitons de la journée pour nous reposer et retrouver de l'équipement pour nous.